Troisième semaine de juillet, on est mercredi et nous voilà avec le Daily Rock, pour couvrir, durant quatre jours, la 18ème édition du Festival Guitare en Scène.
Nous arrivons de bonne heure, car nous avons l’interview de Eagle-Eye Cherry (à découvrir prochainement dans votre magazine).
Quartier Libre
Sur la plus p’tite des scènes du festival, durant deux sets de 40’, Jango Janice, vont chauffer les festivaliers, au son de folk moderne. Les quatre artistes nous offrent un concert plein d’émotions pour leur premier festival. Moment cool pour bien démarrer la soirée.
Scène Village
18h45, premier groupe du tremplin, ils viennent de Nancy (F), ils font du rock progressif, Rosaly. La voix de la chanteuse est dangereusement envoûtante, et terriblement habitée, en même temps que les musiciens marquent, avec une forte intensité, le tempo, accompagné de son sorti « dont ne sait où ! » L’atmosphère est prenante, tout comme leur musique.
23h20, dernier groupe pour cette première soirée, Dymanite Shakers. Ils viennent de Vendée, et nous proposent un rock garage « pas piqué des verts ! ». Ils sont quatre, et la musique est dynamique, elle fait bouger de ouf et elle bouscule tout sur leur passage. Y’a de la rage, y’a des belles mélodies, le combo parfait pour terminer une belle soirée de rock ! La cerise sur le gâteau, y’a du monde pour apprécier le concert.
Scène Chapiteau
19h45, c’est le moment pour le chanteur suédo-americain Eagle-Eye Cherry, de monter sur cette grande scène. Pour l’avoir croisé à l’interview, cet artiste est vraiment cool. Avec ses chansons pop rock folk, il nous enchante, avec son band. À chaque passage qu’il fait
à GES, il donne le sourire aux festivaliers, leurs visages et leurs regards sont emplis d’étoiles.
Moment suspendu !
21h30, c’est le groupe de la soirée, attendu par le public, Simple Minds. Ils sont La Légende du new wave,. C’est parti, « On y va … lève your hands ». Avec une magnifique choriste, à la voix sublime et une batteuse dont la frappe est folle, la gent féminine est bien représentée. On ferme les yeux, et là, la voix ne trompe pas, la magie opère, le public s’avance et se presse devant la scène. Jim Kerr a le sourire et le partage, ce qui donne près de deux heures de concert dans une folle ambiance.
Nous en resterons là pour cette soirée, à demain, frais et … dispo !
Texte : Laurence Apothéloz
Photos : Jacques Apothéloz

























































