Ça faisait longtemps que je n’avais pas vu une telle foule devant une salle de concert.  Cette fois-ci, on a rangé nos t-shirts noirs contre nos plus belles tenues fluos. D’ailleurs, je dois dire que c’est assez pratique pour trouver la salle. Il suffit de suivre les groupes de personnes en ensembles flashys des années 80 et coupes mulets. 

Le public est déjà bien enjoué par la première partie de concert assurée par Future Palace et Blind Channel. Durant la pause, la foule se prépare à accueillir le clou du spectacle, Electric Callboy, en chantant sur des hits tels que « Don’t stop me now ». 

Le décompte de « Tekkno Train » se lance et c’est parti pour un voyage à 300km. A peine commencé, on a déjà le droit à des explosions de confettis dorés. Franchement, je me demande comment ils vont nous tenir en démarrant avec autant de push. Pas le temps de se reposer qu’on enchaîne avec « MC Thunder II » et « Hate/Love ». 

C’est un vrai concentré d’énergie et de couleurs. Je suis assez impressionnée par la qualité du son. Peu importe où l’on se trouve dans la salle, ça sonne super bien. Sans parler du jeu de lumière et le choix des projections d’arrière scène qui accompagnent parfaitement les titres. 

Pour faire retomber un peu la pression, on a le droit à un superbe solo de batterie sur le morceau « Sandstorm » de Darude. 

On reprend de plus belle avec leur titre phare « Hypa Hypa ». On a beau l’avoir écouté un nombre incalculable de fois on ne s’en lasse pas. Pour accompagner le tout, on a le droit à un show pyrotechnique.

Electric Callboy fait appel à la chanteuse de Future Palace, un des deux groupes support de la tournée, pour interpréter « Fckboi ». Le duo donne vie à la chanson. On ressent avec eux chacune des paroles. 

Le show continue et on voit arriver une masse rouge sur scène. Il nous faut quelques regards avant de réaliser que c’est un piano en forme de penis. Après tout, est-ce vraiment étonnant venant d’un groupe aussi déjanté ?

Kevin Ratajczak prend place derrière le fameux instrument pour interpréter son amour pour Nico Sallach sur du « Careless whisper ». On a encore le droit à du « Let it go » et « When you say nothing at all », avant de finir cette aparté acoustique sur « I want it that way » 

Les allemands enchaînent deux morceaux supplémentaires avant de faire tomber le rideau. Là, on a le droit à un super montage photo du groupe avec des corps d’hommes fort musclés sur un fond arc-en -ciel. Bien que le groupe soit presque à deux heures de jeu, tout le monde a la même chose en tête : « Ils vont pas partir sans nous faire Pump It! » 

Le public en veut encore et chante en cœur la mélodie d' »Hypa Hypa ». 

Après ce petit moment de suspense, on repart pour un dernier tour avec « Pump It » et « Spaceman », pour finir en beauté avec « We got the moves ». Le tout déguisé selon les clips vidéos des trois titres.

Cette fois-ci, le show est bel et bien terminé. Entre le spectacle pyrotechnique, les stroboscopes et les titres ultra dynamiques, on n’a pas vu le temps passer.

Si il y a un concert qu’il ne fallait pas manquer ce week-end, c’était bien celui là!

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