La ‘Rupture’ précédente, principalement musicale, passait de la pop anglaise à l’électro plus US, mais était aussi affective, car le groupe poursuivait sa route sans les deux tiers complices des débuts. Feel good music. Rires de façade pour cacher la tristesse parfois.

Avec cet album ripoliné, le groupe navigue entre le hit pop rock mélancolique à refrain discoïde ‘When the light is gone’ et fait la nique aux standards internationaux avec son petit air européen ; le très agréablement cinématographique ‘Catch me’ et son poignant ‘Nothing feels the same without you’. Les deux derniers titres sous influence Motown et Michael Jackson (‘The get down’ hommage total à Thriller) qui clôturent l’album sont les plus réussis. Comme si Stevans mutait en Commodores 2019. Du groove black mené par un Lionel Richie blanc influencé par la brit pop. Album rétroactuel, rappelant parfois les belles heures de Duran Duran, New Order, Daft Punk à qui on aurait parfois sucré les guitares. Cette rentrée vous aller danser sur le bien funky ‘Silence/Violence’. On parie ?

Note : 3,5/5

www.stevans.net

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