C’est une maison bleue … blablabla … celle-ci on y vient à pied que si on est de Strasbourg et quand on en sort on n’est pas certain de tenir debout tellement la déferlante de musique qu’on se prend à l’intérieur est intense. Notre dernière incursion en terre alsacienne avait été pour INHUMATE, ce soir on est plus Black Metal et prog que grindcore dans l’âme avec deux groupes qui ont le vent en poupe en ce moment .
DVNE est un groupe de rock/métal progressif d’Édimbourg, en Écosse. Fondé en 2013, le groupe s’appelait alors Dune en référence au chef-d’œuvre de Frank Herbert du même nom ; une déclaration de l’obsession du groupe pour la science-fiction et la fantaisie sous toutes ses formes, genres qui continuent d’influencer leur musique à ce jour. Avec des compositions très dynamiques s’aventurant de mélodies délicates et complexes à des paysages sonores écrasants et brutaux, la musique de Dvne emmène ses auditeurs à travers un voyage profondément émotionnel rempli de thématiques dystopiques, de grands récits et de paysages d’un autre monde. Depuis la sortie d’Asheran, Dvne a tourné partout au Royaume-Uni, en Europe et en Amérique du Nord et est apparu dans des festivals prestigieux tels que Psycho Las Vegas, Desertfest London et Inferno Festival Norway pour n’en nommer que quelques-uns. Dvne a sorti son deuxième album Etemen Ænka via Metal Blade Record le 19 mars avec un clip pour le morceau SI-XIV et une performance live pour le morceau Towers.
 
La France a longtemps été un terreau fertile pour le black métal, et l’un de ses secrets les mieux gardés est Déluge, qui en 2014, a commencé à mélanger post-hardcore et black métal.
Après avoir sorti leur premier album Æther en 2015, ils reviennent en 2020 avec leur deuxième LP Ægo Templo, un disque plus accessible qui pousse leur son dans des directions toujours plus imaginatives. Formé dans le nord-est de la France, Déluge crée une musique brillante, puissante et honnête inspirée du black metal. Le groupe ne prétend pas vraiment appartenir à cette scène, se qualifiant fièrement à leur début de « black metal français inconnu ».L’ajout d’influences post-hardcore et post-métal ainsi que de voix « claires et vociférantes » aide à les séparer de leurs contemporains et permet une expérience d’écoute peut-être plus profonde. Ægo Templo va encore plus loin que leur sortie précédente, avec des voix claires sur presque toutes les pistes ainsi que des claviers et des instruments supplémentaires sur plusieurs chansons (un saxophone soprano sur « Opprobre »), tout en conservant leur identité.
Même en ces temps incertains, la suite de Déluge est claire, leurs objectifs sont indéniables : « Nous voulons tourner autant que possible, diffuser notre musique brillante autant que possible et aller beaucoup plus loin que ce que la scène metal peut offrir.

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