Après une première partie très planante avec la suédoise Anna Von Hausswolff, celui que tout le monde attendait n’aura pas déçu.

À 22h00, après l’entrée sur scène ordonnée des Bad Seeds, c’est un Nick Cave costume noir et chemise blanche,  élégant comme à son habitude, qui se lance d’emblée à la conquête d’un Stravinski bondé.

C’est sous les applaudissements et sur les notes de l’émouvant ‘Jesus Alone‘, de l’album ‘Skeleton Tree‘ écrit après la mort tragique de son fils, qu’il se lance à la rencontre de son public (ou faudrait-il dire ses disciples) et entame une relation presque charnelle avec lui en touchant et serrant toutes les mains qu’il peut.

À  partir de ce moment, ce sera une communion parfaite entre un Nick Cave généreux, poignant, bouleversant et un Stravinski extasié.

En résumé un concert d’anthologie qui restera gravé dans les mémoires du Montreux Jazz.

Merci Monsieur Nick Cave pour ce moment inoubliable

Photos et texte ©Davide Gostoli

www.montreuxjazzfestival.com

 

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