On ne savait pas sur quel pied danser avec Chevelle, qui oscillait entre les albums qui claquaient le hard-fm bien ricain et les trucs un peu plus perchés. Ce  »Niratias » commence bien avec une intro étrange et un puissant  »So Long, Mother Earth », qui rappelle les origines du groupe et leur premier album  »Point#1 » sorti en 1999 et leur côté grunge criard. Certains singles sortent du lot, et nous fond dodeliner de la tête d’approbation. Mais la faiblesse de ce  »Niratias » est dans le manque de variation vocale de la part de Pete Loeffler. Lui qui proposait une voix tout aussi sombre que haut perchée, offrent un chant monocorde et criard qui ne lui va pas. Les titres étant déjà très répétitifs, on aurait souhaité plus de variété vocale. Dommage, on était pourtant si bien parti…

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Note : 3/5