Hatebreed-The-Concrete-Confessional
©Hatebreed

C’est toujours compliqué de s’attaquer à l’un des groupes qui ameutent un paquet de monde en festival comme en salle. Mais il faut bien l’avouer certains groupes nous proposent des choses beaucoup plus pertinentes en live que sur CD. Et malheureusement c’est le cas de Hatebreed. Autant les premiers albums comme Satisfaction is the Death Of Desire ou Perseverance (et même les deux suivants) étaient des albums qui posaient les bases que le groupe souhaitait développer, autant le reste, comme par exemple The Divinity of purpose était une daube innommable.

Alors qu’en est-il réellement de ce dernier effort. Ben, on va souligner l’envie de faire mieux que leur dernier opus, effectivement celui-là est bien plus plaisant à écouter. Dès le premier titre cela vous dégomme tout ce que vous pouviez avoir encore comme cérumen à l’intérieur des oreilles. Les premiers morceaux passent plutôt bien, moins de breaks lourds comme ils nous avait habitués auparavant, pas trop de branlage de manche, mais, ben oui il y a un mais avec Hatebreed, autant les 4 ou 5 premiers titres passent bien autant au bout d’un moment la chiantitude vous gagne. Alors, redondant, mais sans toutefois casser trois pattes à un canard, pas de quoi se la donner sévère, de toute façon si c’est comme le dernier on aura le droit à un morceau en live et le reste de l’album passera à la trappe. Je suis semi déception car, au fond de moi j’ai la nostalgie des grandes heures de Hatebreed et d’un autre côté je me dis qu’en live ça va tabasser quand même. Pas un album qui restera dans mon lecteur MP3 pendant des plombes, à contrario du dernier Broken Theeth.

FICHE CD
The Concrete Confessional
Nuclear Blast
www.hatebreed.com

 

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