Les collectionneurs chevronnés, tout comme les néophytes auront la possibilité de découvrir, parmi plus de 45 000 disques 33t et 45t et plusieurs milliers de CD, proposés par une quinzaine de marchands, tant professionnels qu’amateurs, de repartir avec sous le bras la collection complète de Jerry Lee Lewis, un album mythique des Beatles ou des Stones a moins que notre fan préfère quelques 45t de Johnny à Mireille Mathieu, afin de nourrir son Juke Box.
Le fan régional trouvera facilement quelques disques de Carol Rich, plus difficilement la disco complète du « Swizterland Reggaeman » Constantin… pour « Always Rock n Roll », disque aux notes Hard Rock de notre ami Paul Mac Bonvin, bien avant qu’il ne devienne la star Romande du Country Rock, il faudra de la chance et pour trouver le second 33t du même Paul Mac, parut il y a plus de 35 ans ? Croyez au miracle, il existe !!!
C’est chèèèère ? Tout est relatif, si les plus rares Pink Floyd dépassent avec facilité les 700 – 800 fr, ils n’atteignent pas les incroyables des Beatles où les enchères décident entre quatre et cinq chiffres !
Mais la plus grande majorité des Eddy Mitchell, Cramps, Bowie, Claude François et Henri Dès change de propriétaire entre 15.- et 25.- francs.
Et pour cette année 2019…
Après ces balbutiements en 1877, le phonographe deviens gramophone et ses 78 tours minute lui permette rapidement d’être la star des premières Surprise Party de la Belle Epoque au son de Polka et Tango effréné. Du Charleston des Années Folles au Boogie Woogie en passant par le Jazz St Germain, le gramo sera détrôner avec l’arrivée du microsillon en 1948 – 49.
Il continuera toute fois son Rhythm and Blues, jusqu’à sa disparition, au début des Fabulous Fifties et l’arrivée du Rock’n’roll accompagné de l’électrophone…
Cette saga du « Double Son » sera présentée, dimanche 13 janvier dans le cadre de la Foire aux Vinyle, par la Fondation Guex-Joris, Musée du Son, Manoir de Martigny.
